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Catégorie : Street Art

Le Courage !!!

CopyRight2021Stanislas Banda

Dernièrement, je vous faisais part de ma réflexion sur l’utopie. Il ne s’agit pas pour moi, ici, d’en faire un développement ; mais plutôt de suggérer des pistes d’introspection. Aujourd’hui, je propose de penser le courage, comme un des attributs de l’utopie.

J’ai souvent croisé le chemin de personnes d’une grande malhonnêteté intellectuelle. Mon éloignement culturel avec certains m’a permis quelques fois de relativiser. Mais quand un africain de ma génération se pare de cette abjecte lâcheté, de déloyauté, le désespoir m’envahit. J’espère que la jeunesse africaine pourra se prémunir contre cette tare en ayant le courage en prodigalité.

Voici pour elle, quelques citations sur le courage provenant de divers coins du monde qui pourront aider à se dépasser :

  • Comprendre ce qui est juste et ne pas le faire démontre l’absence de courage. Conficius
  • Le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. Nelson Mandela
  • Ayez le courage de ne pas savoir un grand nombre de choses afin d’éviter la certitude de ne rien savoir. Sydney Smith

En image, une photo que j’ai prise quelques jours plutôt à partir du pont Notre Dame dans le 4ème arrondissement parisien. En contrebas, à droite, une exposition de tableau-photos au bord de la Seine. Quand la culture se fait omniprésente, il n’y a que du bonheur.

À très bientôt.

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

L’Arc de triomphe emballé !!!

CopyRight2021StanislasBanda

J’ai fait un petit détour aujourd’hui par la place de l’Étoile – Charles de Gaulle pour découvrir une création contemporaine : C’est l’Arc de triomphe emballé. La même chose avait été faite avec le Pont-Neuf en 1985. Mais à cette époque, beaucoup de choses occupait mon centre d’intérêt et donc j’étais passé à côté de l’évènement.

Ce projet avait mûri dans la tête de Christo Javacheff et de son épouse Jeanne-Claude Denat, tous deux disparus aujourd’hui. Mais 60 ans plus tard nous assistons à sa concrétisation avec cette œuvre artistique éphémère.

Celle-ci tombe à pic pour alimenter la réflexion que j’ai avec ma fille en ce moment sur la notion d’utopie. De ce qu’on sait, Christo côtoyait le groupe des « Nouveaux réalistes ». Ceux-ci se distinguaient par une prise de conscience de leur singularité collective autour d’une idée forte : le recyclage poétique du réel. Voilà pourquoi l’utopie en tant que recyclage du réel titille mon attention.

Je reviendrai une autre fois sur cette considération esthétique.

J’espère que ce sujet pourra initier votre propre réflexion.

À très bientôt.

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

Photographie impressionniste !!!

CopyRight2021StanislasBanda

Je n’ai pas encore pris l’habitude de traiter mes prises de vue. J’ai déjà essayé quelques procédés par le passé à titre de découverte. Généralement, je publie mes photos souvent sans légende technique en espérant que ceux qui les découvrent passeront par les mêmes émotions que moi. Même si en réalité il en est toujours autrement.

Voilà ce qu’il en est pour cette photo. Il n’y a pas si longtemps, je me baladais. C’est en passant sur un pont surplombant les voies ferrées que je vis ce paysage qui me rappelait les tableaux de Joseph Mallord William Turner. J’ai rapidement sorti mon APN pour saisir ce moment qui pouvait être fugace car c’était la fin de la journée.

J.M.W. Turner était un précurseur anglais de l’impressionnisme. On l’appelait aussi « peintre de la lumière » ou encore « Peintre des incendies ».

C’était cette lumière de fin de journée qui m’avait inspiré pour déclencher mon appareil photo en espérant obtenir une représentation de couleurs dans le style pictural de J.M.W. Turner.

Pour ceux qui ne connaissent pas ce peintre, je vous invite à regarder ses tableaux tels que : «Le négrier », « Lever de soleil avec monstres marins » ou encore « L’incendie de la Chambre des Lords et des communes ».

  En espérant que votre regard change sur cette photo, je vous dis « À la prochaine ».

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

Architecture métropolitaine !!!

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Aujourd’hui, je descends de ma Tour Eiffel pour vous parler architecture. Toute l’histoire d’une métropole se joue dans son architecture. On y trouve pêle-mêle bataille d’époques, bataille de civilisations, batailles d’hommes… Et très souvent l’homme oublie tout simplement la nature alors que celle-ci nous a préexisté. Sur ma photo :

  • L’immeuble au centre présente une façade agrémentée de généreux décors témoignages du passé artisanal de l’homme. Ce qui justifie souvent son intégration au titre de patrimoine commun. Disons qu’il a quelque chose à raconter
  • L’ouvrage à gauche, plutôt d’inspiration contemporaine, affiche nettement sa rupture avec la tradition. Sa quête promeut de préférence la maximalisation économique et spatio-temporelle. La question de sa durabilité se pose avec force.
  • Quoiqu’il en soit, le discours écologique est absent dans tous les cas.

Sur un plan technique, je me suis organisé lors de ma prise de montrer la place que l’homme assigne à la flore et à la faune. Observez attentivement la photo.

À bientôt.

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

La Tour Eiffel et la cognition !!!

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À l’origine, ce que dit toute la littérature sur la Tour Eiffel, il était prévu
qu’elle soit démantelée vingt ans après son édification. Sa raison d’être
première était l’exposition universelle de Paris en 1889. L’un des clous du
spectacle a d’ailleurs été le « Village indigène » dans le cadre d’une
exhibition « anthropo-zoologique ». Cette singularité et originalité de
la Tour Eiffel lui ont offert une destination touristique.

Pour préserver son œuvre de la désagrégation, Mr Eiffel lui avait trouvé une
vocation autre. C’est ainsi qu’à la faveur de cautions et d’empathie d’autres
savants, une affectation nouvelle lui fut trouver. Voilà pourquoi les noms de
72 savants sont disposés sur la frise des quatre façades, à savoir du côté
Trocadéro, du côté Grenelle, du côté École Militaire et enfin du côté Paris.

La Tour Eiffel a donc été utilisée comme laboratoire pour des observations
météorologique, astronomique, stratégique, pour la communication et autres…
Aujourd’hui de nombreuses chaînes de télévision et de stations radios émettent à partir de son antenne.

J’ai beaucoup de souvenirs avec la Tour Eiffel. En particulier le dîner de mariage que nous, mon épouse et moi, avons eu au luxueux restaurant Jules Verne du deuxième étage de la Tour Eiffel. Ce fut une expérience gastronomique extraordinaire à travers la cuisine raffinée du Chef Alain Reix : Un voyage entre poésie culinaire et esthétisme. Mais pas seulement, ce fut aussi une conversion mémorielle à l’adresse de nos anciens.

À bientôt.

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

La Tour Eiffel Pont d’Iéna !!!

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Voilà une autre vue de la Tour Eiffel.

J’avais choisi de changer de perspective en variant la hauteur de mon angle de prise de vue. La technique du contre-plongée à partir du pont rendait le cadre plus dynamique. Ce qui m’importait alors était le choix d’un angle et la signification qui en résultait. Ma composition devient plus forte parce que je porte mon sujet à son paroxysme même s’il n’en avait pas besoin dès le départ. Les perspectives sont plus prononcées.

En tant que photographe, j’adopte ici la posture de l’enfant. Et je transcris ainsi ce qu’il ressent devant son vis-à-vis. C’est-à-dire la place de la démesure dans son espace vital. Pour le cadrage, j’ai choisi des coupes nettes afin de contrôler les lignes de fuites et les déformations éventuelles.

Le pont d’Iéna sous lequel je me trouvais fut l’oeuvre de Napoléon Ier. Il assure la jonction entre la Tour Eiffel et le Trocadéro. Juste en face de l’École militaire, sa construction avait duré de 1808 à 1814.

À bientôt.

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

La tour Eiffel Pont de l’Alma !!!

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C’est à partir du Pont de l’Alma que j’ai pris ma photo. La Tour Eiffel se retrouve cette fois-ci dans le prolongement de la cathédrale orthodoxe de la Sainte-Trinité située « Quai Branly » dans le 7ème arrondissement de Paris.

Celle-ci est surmontée de cinq bulbes symbolisant le Christ et les quatre évangélistes du nouveau testament. Ces bulbes sont constitués de fibre de verre, recouvert de feuilles en alliage d’or et de palladium qui lui confère sont aspect mat. J’en ai profité pour donner une unité de ton à ma composition.

À bientôt

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Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

La tour Eiffel Quai Branly!!!

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La tour Eiffel culmine à 324m. Sa visite est incontournable lorsqu’on fait du tourisme à Paris. Mis à part le champ de Mars qui lui confère un cadre écologique observable et photographiable, peu de monde fait l’effort de la regarder autrement. Pour cela, il faut marcher. Beaucoup marcher. Beaucoup beaucoup fureter.

Je vais vous présenter quelques-unes de mes prises faites en 2017.

Celle d’aujourd’hui a été prise à partir du Musée du Quai Branly à l’époque de l’exposition « Picasso Primitif » de œuvres de Picasso. Vous savez, Pablo Picasso !!!

Celui qui avait dit : « L’art nègre ? Connais pas. »

Sur ma photo, pour pouvoir observer la Tour Eiffel, vous n’avez d’autres choix que de transpercer de votre regard, de votre pensée l’œuvre de Picasso en filigrane sur la rambarde vitrée du Musée.

À bientôt

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

 

Bel endroit dans Paris!!!

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Voilà un très bel endroit en plein dans Paris dont je tairais le nom de la rue pour préserver la quiétude de ses occupants. Je l’avais découvert au hasard de mes balades.

À bientôt

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

Annulation du Salon de la photo

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En raison du coronavirus, le Salon de la Photo, qui se tient habituellement à Paris Expo Porte de Versailles à cette époque, vient d’être annulé par les organisateurs.

Pour nous, amoureux de la photo, c’est l’évènement annuel à ne pas rater. La photographie est par excellence une activité solitaire. Le salon est donc l’occasion de partager nos expériences, de croiser des grands noms de la photo, de suivre les conférences, et surtout de glaner des informations sur les dernières nouveautés technologiques. C’est aussi l’opportunité de discuter avec les exposants.

  Il faut savoir maîtriser ses dépenses si on a l’intention de faire des achats, car il y a tout ce qui peut intéresser un photographe, amateur et professionnel : APN, stages et écoles de formation, retouche numérique, impression…

Il ne faut pas être claustrophobe car ce lieu draine plus de 60 000 personnes tous les ans. Voilà pourquoi, cette annulation du salon est bien judicieuse. Car le coronavirus ne fait pas dans la dentelle.

En attendant le prochain salon, à vos APN.

J’ai pris la photo ci-jointe avec un objectif hypergone. Sa particularité est d’avoir un très grand angle de vision. Sa distance focale très courte créée une distorsion de l’image en courbant toutes les lignes droites qui ne passent pas par le centre.

L’utilisation de cet objectif est intéressante artistiquement mais à très petite dose car on s’accommode très vite avec les aberrations en perdant de l’acuité artistique.

Stanislas Banda
Inji balé, Ocho balé
Uzu balé, ama balé

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