
S’il y en a un que j’aime particulièrement, c’est le tromboniste Candido Pereira da Silva.
Il avait composé de centaines de titres avant sa mort en 1960 à l’âge de 81 ans. Il avait eu des musiciens renommés comme compagnons tel Pixinguinha entre autres. Il écrivait sa musique, mais aussi celles des autres, dans son incomparable style. Contribuant ainsi à la préservation des œuvres mais surtout de la culture d’une époque ancienne, de son époque au bénéfice de la génération future.
Je vous livre telle quelle ma transcription de « Comparando ». Le
saxophone est un superbe instrument mais son relevé partition peut s’avérer
fastidieux car les notes s’enchainent dans un souffle proche de l’émission de
la voix humaine. Contrairement au côté percussif des notes du piano donnant à celles-ci un contour plus nette « favorisant » le déchiffrage, il en
est autrement pour les instruments à vent. Avec des musiciens expressifs usant
d’ornements, de fioritures, de broderies, mes vieilles oreilles ont du mal à
égrainer. En sus, j’ai été confronté à un bug persistant sur la plate-forme
SoundSlice qui avorte toutes mes tentatives de corrections. Cela fait un bout de temps déjà que je détricote cette pièce, je vais donc passer à une autre. Je vous livre tel quel mon travail avec quelques erreurs sans importance mais l’essentiel y est.
Je n’ai pas trouvé de photos plus parlantes de ce grand artiste pour illustrer mon article.
C’est un pur bonheur que de savourer le lyrisme du tromboniste Candido Pereira da Silva. J’espère qu’il vous plairait autant qu’à moi.
Cliquez sur le lien pour accéder à la partition sur la plateforme SoundSlice:
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